Témoignages croisés de Simon Ecuyer, David Michaud et Rémy Bottala
La Fresque de la connaissance se révèle être un outil collaboratif capable d’apporter des bénéfices concrets à des structures variées : associations, institutions sportives ou encore groupes internationaux. Trois participants en témoignent : Simon Ecuyer, directeur de l’Iresa, David Michaud, élu au District de Football de Loire-Atlantique, et Rémy Bottala, responsable innovation chez DS Smith.
Un regard neuf sur l’organisation interne
Pour Simon Ecuyer, l’atelier a mis en évidence un enjeu fondamental : 
l’organisation interne. Jusque-là, cette question relevait surtout de l’intuition. La Fresque lui a permis de transformer ce ressenti en pistes d’action concrètes. En visualisant collectivement les forces et faiblesses de son réseau, il a pu dégager une vision plus claire des leviers à activer pour fluidifier la communication et optimiser le fonctionnement de l’Iresa.
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Prendre du recul face à la surcharge d’informations
De son côté, David Michaud faisait face à une autre problématique : la surcharge d’informations dans son quotidien d’élu. 
L’atelier lui a offert un temps de recul rare, loin des urgences opérationnelles, pour réfléchir à la manière dont circule l’information et à la façon dont elle peut se transformer en véritable ressource. Cette mise en perspective lui a permis de prendre conscience qu’une meilleure gestion de l’information contribue à la fois à la performance et au bien-être collectif.
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Impliquer les équipes dans une dynamique collective
Rémy Bottala, enfin, a souligné combien la Fresque permet d’impliquer les équipes dans un travail collaboratif. 
Pour lui, l’atelier ouvre de nouvelles perspectives pour mieux coordonner les actions et renforcer la cohésion. Au sein d’un grand groupe comme DS Smith, cette démarche collective est perçue comme une opportunité précieuse de clarifier les responsabilités, de consolider la coopération et d’insuffler une dynamique nouvelle.
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Une expérience commune, des apports complémentaires
Si leurs contextes sont différents, tous trois ont partagé le même enthousiasme pour la dimension collaborative et structurante de l’atelier. Simon a apprécié la richesse des échanges et la manière dont la Fresque a fait émerger des idées nouvelles et des liens insoupçonnés. David a mis en avant la possibilité de sortir du rythme quotidien pour analyser en profondeur la place de l’information. Quant à Rémy, il a particulièrement apprécié le climat bienveillant et stimulant qui a permis de transformer la réflexion collective en pistes d’actions concrètes.
Vers une transformation organisationnelle
Au-delà des constats, chacun repart avec des apports tangibles pour son organisation. À l’Iresa, Simon dispose désormais de pistes pour renforcer l’efficacité interne et impliquer son équipe dans cette démarche. Au District de Football, David voit dans la Fresque un outil pour conjuguer performance et sérénité grâce à une gestion plus fluide de l’information. Chez DS Smith, Rémy considère que l’atelier lui a permis d’identifier les bonnes pratiques essentielles à mettre en place au sein des équipes à l’ère de l’IA générative afin d’accueillir la technologie dans les meilleures conditions.
Ces trois témoignages le montrent bien : quelle que soit la structure – un réseau associatif, une institution sportive ou un groupe international – la Fresque de la connaissance offre un même bénéfice. Elle propose un temps précieux pour réfléchir collectivement, prendre du recul et transformer ses pratiques. En réunissant intelligence collective et propositions d’actions concrètes, elle devient un véritable levier de transformation organisationnelle.